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MANIFESTE

Agissons pour la vènerie, la biodiversité et la ruralité

Nous tous, ruraux, forestiers, chasseurs, veneurs, amoureux de la nature, acteurs des territoires, nous sommes, ensemble, une communauté liée dans notre diversité par une passion commune.

  • Tous en mission, tous engagés, nous agissons pour que la vènerie perdure ! 
    • La vènerie fait appel à des valeurs immuables toujours contemporaines,
    • Elle est l’écho de notre histoire ,
    • Elle est portée par une vision équilibrée de la relation intime et harmonieuse entre l’Homme et la Nature,
    • Elle se transmet de génération en génération tout en attirant de nouveaux passionnés,

Nous devons assurer son développement et sa pérennité.

  • La raison d’être du Fonds Vènerie est de promouvoir et défendre la vénerie et ses actions en faveur de la biodiversité et de la ruralité, tout en affirmant sa modernité, son utilité et ses spécificités souvent méconnues. 
    • Implication dans la vie rurale,
    • Liens intergénérationnels et sociaux qu’elle développe,
    • Rôle dans les territoires,
    • Maintien des métiers et de savoir-faire traditionnels et ruraux.

La vènerie a toute sa place dans la société contemporaine

  • C’est pourquoi le Fonds Vènerie soutient toute action qui 
    • Assure le rayonnement de la chasse à courre,
    • Informe avec exactitude sur cette activité cynégétique unique,
    • Met en valeur l’engagement avec lequel les acteurs de la vènerie vivent cette passion.

 

Pour réaliser cette mission, le Fonds Vènerie participe à des actions qui valorisent la vènerie :

  • Promouvoir l’écologie, creuset de la connaissance et du développement durable de la faune, de la flore et de nos forêts et : 
    • Préserver et restaurer la biodiversité,
    • Favoriser la libre circulation des animaux sauvages,
    • Cultiver l’équilibre agro-sylve-cynégétique,
    • Partager la connaissance des territoires.
  • Participer à La Défense et la compréhension de la vènerie par différentes publications et actions de communication via des canaux et supports variés, à destination des : 
    • Médias régionaux et nationaux,
    • Élus et à diverses administrations,
    • Organisations agricoles, équestres, canines…,
    • Équipages et veneurs.
  • Favoriser et mettre en valeur la vénerie dans notre patrimoine culturel, ancien et moderne : peinture, sculpture, musique, littérature…
  • Assurer la formation de tous les veneurs (cavaliers, piqueur, amis de la vènerie…) au bien être des chiens et des chevaux dont nous avons la responsabilité. 

 

Pour toutes ces missions, le Fonds Vènerie a besoin de financement et donc de vos dons, de celui de vos entreprises et de vos legs.

Pour défendre notre passion commune, apportez votre contribution au Fonds Vènerie, en rejoignant la grande famille des donateurs, soutiens actifs de la vènerie.

Les dons que le Fonds vènerie reçoit sont déductibles à 66% de votre impôt sur le revenu (IR) dans la limite de 20% de vos revenus nets imposables. Ainsi un don de 100€ ne vous coûte que 34€.

Si le don est effectué par une société, ce don est déductible à 60% de l’impôt sur les sociétés (IS) dans la limite de 20 000 € ou 5 ‰ (5 pour mille) du chiffre d’affaires annuel hors taxe (plafond appliqué à l’ensemble des versements effectués).

S’il s’agit d’un legs, le statut du Fonds Vènerie l’exonère de tout droit de mutation à titre gratuit, autrement dit de tout droit de succession.

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LE FONDS

SON HISTOIRE TÉMOIGNAGE PHILIPPE DULAC

Comment est né le Fonds Vènerie ?

Le Fonds de dotation Vènerie est né dans le bureau de Bruno Cheuvreux. Un jour de fin 2009 où j’allais recueillir ses précieux conseils sur une affaire personnelle, je lui fis part de ma préoccupation pour le devenir de la vènerie. Depuis 2007, s’étaient multipliés des sabotages sur le terrain et je voyais bien qu’il faudrait des moyens nouveaux pour défendre notre mode de chasse. Je connaissais bien ceux de la Société de Vènerie : ils n’étaient pas suffisants.

Bruno me demanda si je connaissais une loi récente ayant créé une institution très souple : le fonds de dotation. J’étais passé complètement à côté. Il me recommanda vivement de m’y intéresser et me donna les coordonnées d’un cabinet d’avocats qui était très pointu sur ce type de sujet.

C’était parti. Avec les conseils du dit cabinet, la Société de Vènerie élabora des statuts, puis les déposa auprès de la Préfecture de Paris. Peu de temps après, nous reçûmes le feu vert qui permettait au Fonds de commencer à exister. C’était en 2010.

Il fallut ensuite introduire dans le comportement des veneurs un réflexe nouveau : celui de donner. Là, c’était plus compliqué. J’étais habitué, après 10 ans de présidence de la Société de Vènerie, à entendre gémir certains veneurs chaque fois qu’on leur demandait de payer une cotisation annuelle de 2 ou 3 dizaines d’euros. Quant aux maîtres d’équipage, il n’était pas rare qu’ils croient bon d’entretenir une saine tradition de pingrerie : ils n’étaient pas là pour faire vivre une bureaucratie parisienne qu’ils regardaient volontiers avec une certaine distance.

Il fallait monter la côte…

C’est maintenant chose faite. Pierre de Roüalle a su motiver tous les veneurs. Je regarde avec admiration les comptes et les perspectives du Fonds Vènerie présidé aujourd’hui par Bruno Cheuvreux. L’inquiétude existentielle engendrée par les menées des AVA y a certainement beaucoup contribué. Cela rappelle un propos perspicace d’Hercule Poirot : là où il y a poison, il y a contre-poison.

J’ai peut-être aidé à lancer le contre-poison en prenant l’initiative, il y a quelques années, de réunir un groupe de veneurs que je connaissais bien personnellement, en leur demandant de s’engager moralement à donner 1 000 € par an au Fonds durant 10 ans. Je les baptisais « les bienfaiteurs », et on les convia à un dîner annuel. Ils étaient une quinzaine, dont le nom n’a jamais été rendu public.

C’était encore de modestes débuts. L’objectif que vise maintenant Bruno Cheuvreux est trente fois supérieur.

Dans un monde violent et dangereux, les bons sentiments ne suffisent plus. Il faut des moyens pour livrer bataille. Les veneurs l’ont compris. Cette prise de conscience joue un rôle majeur dans la sauvegarde de la vènerie. Tous les dons sont précieux. Les plus modestes apportent le renfort moral d’un engagement de conviction. Les plus importants autorisent la mise en œuvre d’une stratégie à la mesure de celle de nos ennemis qui, eux, savent collecter les dons depuis bien plus longtemps que nous.

Philippe Dulac – président d’honneur du Fonds Vènerie

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LE FONDS

SON HISTOIRE TÉMOIGNAGE PHILIPPE DULAC

Je viens d’assister au Conseil d’Administration du Fonds de dotation vènerie.

Je ne peux pas m’empêcher de formuler un témoignage d’admiration pour ce qui est en train de se faire.

Nous sommes tous troublés par l’action des AVA ; Ils ne sont pas bien nombreux, mais les média leur déroulent le tapis rouge – comme toujours car en France, ceux qui se piquent d’avoir un cerveau sont à priori pour les contestataires. Pour cette raison, leur action tend à nous décourager.

Mais voir à quel point la vènerie a été capable de s’organiser et se mobiliser pour son existence rétablit la confiance.

Une chose est sûre : les moyens que nous savons aujourd’hui déployer sont sans commune mesure avec ceux d’avant. Quand j’ai pris en 2000 la présidence de la Société de Vènerie, il y avait quatre sous dans le tiroir-caisse – pas cinq. Notre action était essentiellement qualitative et reposait presque exclusivement sur les relations que nous étions capables de nouer et d’entretenir.

Vingt ans plus tard, c’est autre chose. Le monde a changé car la vènerie est devenue comme on dit, un « débat de société ». C’est un terrible défi. Mais nous démontrons que nous sommes capables de nous mobiliser pour le relever. Nous ne sommes pas dépassés.

Bravo aux animateurs du Fonds Vènerie.

Les seules communautés qui soient irrémédiablement condamnées sont celles qui ont perdu l’instinct de se défendre. Ce n’est pas notre cas.

Certains craindront sans doute que, face au monde surpuissant de « la com’ », nous ne soyons dans la position de David face à Goliath. Mais, si je ne me trompe, dans l’Histoire, c’est David qui gagne…

Nous n’avons aucune raison de dormir sur nos deux oreilles. Mais nous n’avons pas davantage de raison de désespérer.

Courage : à la fin nous vaincrons.

Philippe Dulac

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LE MOT DU PRÉSIDENT

ÉDITO ENTRETIEN AVEC BRUNO CHEUVREUX

Je viens d’assister au Conseil d’Administration du Fonds de dotation vènerie.

Je ne peux pas m’empêcher de formuler un témoignage d’admiration pour ce qui est en train de se faire.

Nous sommes tous troublés par l’action des AVA ; Ils ne sont pas bien nombreux, mais les média leur déroulent le tapis rouge – comme toujours car en France, ceux qui se piquent d’avoir un cerveau sont à priori pour les contestataires. Pour cette raison, leur action tend à nous décourager.

Mais voir à quel point la vènerie a été capable de s’organiser et se mobiliser pour son existence rétablit la confiance.

Une chose est sûre : les moyens que nous savons aujourd’hui déployer sont sans commune mesure avec ceux d’avant. Quand j’ai pris en 2000 la présidence de la Société de Vènerie, il y avait quatre sous dans le tiroir-caisse – pas cinq. Notre action était essentiellement qualitative et reposait presque exclusivement sur les relations que nous étions capables de nouer et d’entretenir.

Vingt ans plus tard, c’est autre chose. Le monde a changé car la vènerie est devenue comme on dit, un « débat de société ». C’est un terrible défi. Mais nous démontrons que nous sommes capables de nous mobiliser pour le relever. Nous ne sommes pas dépassés.

Bravo aux animateurs du Fonds Vènerie.

Les seules communautés qui soient irrémédiablement condamnées sont celles qui ont perdu l’instinct de se défendre. Ce n’est pas notre cas.

Certains craindront sans doute que, face au monde surpuissant de « la com’ », nous ne soyons dans la position de David face à Goliath. Mais, si je ne me trompe, dans l’Histoire, c’est David qui gagne…

Nous n’avons aucune raison de dormir sur nos deux oreilles. Mais nous n’avons pas davantage de raison de désespérer.

Courage : à la fin nous vaincrons.

Philippe Dulac

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LE MOT DU PRÉSIDENT

ÉDITO ENTRETIEN AVEC BRUNO CHEUVREUX

Christophe Posty: Qu’est-ce-que le Fonds Vènerie et à quoi sert-il ?
Bruno Cheuvreux : Le Fonds Vènerie est un fonds de dotation, autrement dit une sorte de Fondation mais juridiquement plus souple à construire et à faire fonctionner.
Par application de la loi et de ses statuts, le Fonds se consacre à une mission d’intérêt général.
Cette mission d’intérêt général est d’assurer la pérennité de la vènerie et le rayonnement de la chasse à courre.
Ainsi, il accompagne la Société de Vènerie dans ses missions de développement et de reconnaissance de la vènerie. Il la soutient financièrement grâce aux dons qu’il reçoit.
Dans un « manifesto », le manifeste de notre raison d’être, nous avons détaillé les exemples de projets au soutien desquels participe le Fonds Vènerie.

C. P. : Quel sera votre rôle en tant que président ?
B. C. : Mon rôle est d’animer une équipe. Cette équipe, ce sont tout à la fois des membres du Conseil d’administration du Fonds
Vènerie et différents spécialistes de la communication, des réseaux sociaux et des liens digitaux.
Mon rôle, notre rôle à tous, est de réussir à ce que le Fonds Vènerie participe, grâce à vos dons, à une partie substantielle, de l’ordre d’un tiers, au budget en recette de la Société de Vènerie.
Notons ici que le Fonds Vènerie est animé par des bénévoles, indépendamment d’une prestation de suivi réalisée par Isabelle
Mouret. Ainsi, la dévolution au profit de la Société de Vènerie est de l’ordre de 80% des dons.

C. P. : Le Fonds Vènerie a évolué récemment ; dans quelles mesures ?
B. C. : Le Fonds Vènerie, comme tout corps social, vient effectivement d’évoluer. Son Conseil d’administration a nommé de nouvelles compétences !
Claire Fougea, avocate et spécialiste de la communication, Ghislain d’Alançon, spécialiste des dons numériques, Olivier Descamps, secrétaire général des apprentis d’Auteuil et Christophe Posty, chargé, entre autres, d’assurer la rubrique « Fonds Vènerie » au sein de la revue du même nom.
Il ne s’agit nullement de tout révolutionner car Philippe Dulac, ancien Président du Fonds, a su créer des perspectives et gérer le Fonds avec prudence et minutie.
Il s’agit simplement, pas à pas, d’être à la pointe des savoir-faire d’un Fonds de dotation, capable, dans notre cas, de participer à l’animation d’une communauté de plusieurs dizaines de milliers de personnes.

C. P.:Quelles sont les actions récentes du Fonds Vènerie ?
B. C. : Le Fonds Vènerie a commencé par développer de nouveaux outils :
– Un signe, pour une meilleure identification
– Un site Internet fonds-venerie.org
– Une faculté de paiement en ligne, pour une meilleure fluidité de la réception des dons.
Il attaque maintenant les nécessaires plans marketing et de communication.
Les actions concrètes et plus anciennes sont clairement décrites sur notre site Internet.

C. P. : La bonne utilisation de l’argent récolté par le Fonds Vènerie est-elle assurée ?
B. C. : Tous les dons ont vocation à bénéficier à la vènerie. Cette assurance tient à ce que dès l’origine, Philippe Dulac s’est fait conseiller par l’avocat de référence en matière de fonds de dotation pour nous guider dans les grands choix que nous avons eu à faire.
Le Conseil d’administration du Fonds Vènerie vérifie la bonne utilisation des dons reçus.

C. P. : Qui sont les donateurs actuels ?
B. C. : Les donateurs actuels sont des veneurs !
L’un des objectifs du Fonds est de s’ouvrir à l’ensemble de la communauté des veneurs au sens large, pratiquants réguliers, occasionnels, du simple amateur au veneur le plus chevronné. Chacun contribuant en fonction de ses moyens et de ses souhaits.

C. P.: Que dire à ceux qui resteraient réticents pour faire un don ?
B. C. : Qu’agir, c’est tout simple.
Qu’il ne faut pas regarder passer le train sans monter dedans.
Que nos opposants, eux, sont mobilisés pour nous tuer.
Que la vènerie a besoin de tous et de chacun pour assurer sa pérennité et son développement.
Et qu’on défend bien plus que la vènerie. On défend un mode de vie, une culture, une histoire, on consolide le présent et on prépare l’avenir.

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NOS RESSOURCES ET NOS DÉPENSES CHIFFRES CLÉS 2020

NOS RESSOURCES : VOS DONS TÉMOIGNAGE PHILIPPE DULAC

Grâce à vos dons, la vènerie a pu rayonner et se rendre encore plus visible au cours de l’année 2020. Chaque don compte, peu importe son montant. Chaque euro récolté contribuera à la défense et à la promotion de la chasse à courre dans une société où elle est régulièrement placée sous les projecteurs de l’actualité et où sa pratique « interroge » nos contemporains.

Nombre de donateurs

Le nombre de donateurs a augmenté de façon significative ; c’est le signe d’une prise de conscience d’un plus grand nombre de veneurs et de sympathisants dans toute la France et ce quel que soit l’animal chassé. Cette dynamique se poursuivra en 2021.

Dotations principales
pour l’année 2020

L’augmentation du volume des dons en 2020 a permis au Fonds de financer 2 fois plus d’actions en faveur de la vènerie, et de ses actions en faveur de la biodiversité et de la culture.

Chiffres

2020

Total des dons 411 000 euros
Bienfaiteurs (1 000 € et +) = 313 600 €
Donateurs 96 600 €

Prévisions 2021
Total des dons 600 000 euros
Bienfaiteurs (1 000 € et +) = 400 000 €
Donateurs 200 000 €

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NOS RESSOURCES ET NOS DÉPENSES CHIFFRES CLÉS 2020

NOS RESSOURCES : VOS DONS TÉMOIGNAGE PHILIPPE DULAC

Voici les actions rendues possibles grâce aux dons et menées en 2020 par la Société de Vènerie.

72 000 € pour la tournée régionale du président de la Société de Vènerie, Pierre de Roüalle
6 000 personnes ont été sensibilisées à la situation de crise de la vènerie au cours de 12 réunions.

80 000 € pour la gestion de la crise politique et médiatique

  • Frais de justice pour l’affaire Pilaski
  • Vidéos : 10 raisons de ne pas interdire la chasse à courre
  • Consultants media et communication dans le cadre de la gestion du RIP sur le bien-être animal
  • éférendum d’initiative partagée)
  • Edition brochure « 10 raisons de ne pas interdire la chasse à courre »
  • Edition autocollant, tee-shirt et dépliant « militant à cor et à cri »

Faire face à une crise imprévue avec le concours de spécialistes reconnus

19 000 € pour la réalisation du supplément Sanglier de la revue Vènerie
Un supplément de qualité qui a mis en valeur les vautraits.
Coup de projecteur annuel sur un aspect de la richesse patrimoniale de la vènerie

103 000 € pour la prise en charge des honoraires des prestataires Communication

  • Agence de relations media : relation journalistes, coordination des reportages, article, media training…)
  • Equipe de communication de la Société de Vènerie

Une équipe professionnelle et réactive pour structurer les prises de paroles écrites et orales de la vènerie.

20 000 € pour des vidéos

  • Est-ce aux militants animalistes de dicter aux campagnes… ?
  • 639 000 vues

  • Liberté, ruralité, authenticité
  • 112 000 vues

  • AVA plus du tout
  • 87 000 vues

  • Les diffamateurs de l’affaire Pilarski
  • 348 000 vues

  • Week-end Vènerie dans les Landes
  • 34 000 vues

  • Affaire Pilarski
  • 335 000 vues

La vidéo est le média d’excellence sur les réseaux sociaux ; la variété et la qualité des vidéastes qui apportent leur contribution garantit l’impact de nos messages auprès d’une communauté élargie